Zone du titre et de la mention de responsabilité
Titre propre
Mine Agnico-Eagle 1981
Dénomination générale des documents
Titre parallèle
Compléments du titre
Mentions de responsabilité du titre
Notes du titre
Niveau de description
Pièce
Cote
Zone de l'édition
Mention d'édition
Mentions de responsabilité relatives à l'édition
Zone des précisions relatives à la catégorie de documents
Mention d'échelle (cartographique)
Mention de projection (cartographique)
Mention des coordonnées (cartographiques)
Mention d'échelle (architecturale)
Juridiction responsable et dénomination (philatélique)
Zone des dates de production
Date(s)
Zone de description matérielle
Description matérielle
1 photographie : coul. ; 9 x 11 cm.
Zone de la collection
Titre propre de la collection
Titres parallèles de la collection
Compléments du titre de la collection
Mention de responsabilité relative à la collection
Numérotation à l'intérieur de la collection
Note sur la collection
Zone de la description archivistique
Nom du producteur
Notice biographique
Denis Laberge a étudié à l’école Polytechnique de Montréal en 1980. Il a été engagé à la mine Agnico-Eagle de Joutel pour un travail d’été. Il y a travaillé deux étés d'affilée. Il s’occupait de recueillir les échantillons de minerais. Après quelque temps, il est devenu assistant-arpenteur et ce pour l’été 1981 également.
Historique de la conservation
Portée et contenu
Collègue de travail (qui était sampleman) dans une «raise» sous la plate-forme des mineurs. C’est sur cette plate-forme que les mineurs installaient leur «drill» pneumatique pour percer la pierre afin d’y insérer la dynamite. Chaque matin, les mineurs assignés à ce type de tunnel, devaient monter des tuyaux d’air et d’eau, des échelles lourdes et réinstaller leur plate-forme de bois avant de commencer leur travail de perforation. Une fois le perçage terminé et après avoir inséré la dynamite, ils devaient défaire leur plate-forme et l’attacher solidement à la paroi ainsi que leur lourde «drill» pneumatique. Si cette activité n’était pas bien faite, tout le matériel aurait descendu en bas (en plu des bris) avec l’explosion cédulée de fin de journée. Denis avait un grand respect pour ces mineurs dans ce type d’environnement et pour ce travail très physique… sans oublier la possibilité de perdre pied…