La photo a été prise sur la route 109 entre Amos et Joutel. M. Laberge trouvait impressionnant de voir une route droite à perte de vue. Cette photo et la suivante ont été prises d’un côté et de l’autre (côté nord et côté sud) au même endroit (en 1981).

Photo prise d’une mine désaffectée avant sa déconstruction. Denis pense qu’elle s’appelait la mine Poirier.

Bureau de l’engineering dans lequel Denis Laberge travaillait. On remarque qu’à cette époque, il n’y avait aucun équipement informatique sauf une calculatrice ou une règle à calculer pour les initiés! Les bureaux étaient grands afin d’être en mesure de déployer les plans papiers. Sur la photo, il s’agit de M. Denis Laberge avec un collègue de travail.

Photo prise devant la porte du refuge/cuisinette qui se situe près du «shaft». On retrouve ce type de refuge à tous les niveaux de la mine. On remarque la porte métallique qui devait résister au déplacement d’air lors des explosions sous terre. Devant la porte, il s’agit de Denis Laberge.

Photo prise à l’intérieur du refuge. La table était composée d’une portion chauffante. En effet, certains mineurs déposaient leurs cannes de soupe (ou repas en boîte) sur cette surface en début de quart afin qu’ils soient chauds lors du repas venu pour ceux qui travaillaient assez proche de cette pièce.

Photo prise à l’intérieur du refuge. La table était composée d’une portion chauffante. En effet, certains mineurs déposaient leurs cannes de soupe (ou repas en boîte) sur cette surface en début de quart afin qu’ils soient chauds lors du repas venu pour ceux qui travaillaient assez proche de cette pièce.

Collant pour souligner le nombre d’années sans accidents au travail du travailleur. Cet insigne était normalement collé sur le casque du travailleur, Vois la photo#12 où l’on voir le casque blanc de mon patron de l’époque avec ce type de collant.

Photo de l’arpenteur s’apprêtant à installer sont théodolite (transit d’arpentage) dans une «raise». Comme il est dans un tunnel vertical et qu’il est en équilibre sur une échelle, il se devait d’installer et stabiliser son instrument. On aperçoit aussi la corde descendant du plafond (son point de départ) au-dessus de son instrument.

Denis Laberge dans cette même «raise» pour assister l’arpenteur. Il faut noter que ces tunnels verticaux peuvent mesurer plusieurs centaines de pieds. À l’arrière de Denis, dans l’obscurité, les mineurs attendent sur leur plate-forme que le travail soit terminé. Ils se devaient d’arrêter de travailler et s’abstenir de bouger au risque de faire tomber une pierre qui pouvait être un grand danger, en raison de la hauteur de la chute.

Collègue de travail (qui était sampleman) dans une «raise» sous la plate-forme des mineurs. C’est sur cette plate-forme que les mineurs installaient leur «drill» pneumatique pour percer la pierre afin d’y insérer la dynamite. Chaque matin, les mineurs assignés à ce type de tunnel, devaient monter des tuyaux d’air et d’eau, des échelles lourdes et réinstaller leur plate-forme de bois avant de commencer leur travail de perforation. Une fois le perçage terminé et après avoir inséré la dynamite, ils devaient défaire leur plate-forme et l’attacher solidement à la paroi ainsi que leur lourde «drill» pneumatique. Si cette activité n’était pas bien faite, tout le matériel aurait descendu en bas (en plu des bris) avec l’explosion cédulée de fin de journée. Denis avait un grand respect pour ces mineurs dans ce type d’environnement et pour ce travail très physique… sans oublier la possibilité de perdre pied…

1 photographie : coul. ; 9 x 11 cm

La photo a été prise sur la route 109 entre Amos et Joutel. M. Laberge trouvait impressionnant de voir une route droite à perte de vue. Cette photo et la précédente ont été prises d’un côté et de l’autre (côté nord et côté sud) au même endroit (en 1981).

Denis Laberge, à titre d’assistant-arpenteur, lors de la prise de données. On remarque sur la photo le «plumbob» suspendu au-dessus de l’instrument de mesure. Sous terre, tous les points d’arpentage (à l’époque du moins) étaient au plafond, contrairement à l’arpentage au sol.

La collection des photographies prises par M. Denis Laberge, employé étudiant à la mine Agnico-Eagle de Joutel. Elle contient une lettre de recommandation de la mine à l’endroit de M. Laberge, ainsi que des photographies des activités souterraines, de la ville de Joutel, de la mine Agnico Eagle, de travaux d’arpentage, etc.

Denis Laberge, à titre d’assistant-arpenteur, faisant une marque au plafond afin de bien visualiser le point d’arpentage. On remarque qu’à certains endroits, le plafond était assez haut (près de 10 pieds).

Des mineurs, sur un train électrique, transportant le minerai. Il est à noter que les mineurs portaient un imperméable contrairement aux autres photos où Denis n’avait qu’une salopette avec des chandails chauds. En fait, outre les mineurs qui devaient travailler avec de l’équipement pneumatique/eau, il n’était pas nécessaire d’avoir un imperméable dans les tunnels profonds. C’est seulement dans les tunnels près de la surface qu’il était nécessaire d’avoir un imperméable en raison de l’eau qui s’écoulait du plafond (veine d’eau), ce qui n’était pas le cas en profondeur.

Denis Laberge avec une «drill» pneumatique pour la photo… On voit très bien qu’elle n’est pas branchée (eau et air). Par ailleurs, Denis aurait assurément ses coquilles sur les oreilles car le bruit est assez infernal sous terre quand elle fonctionne. En plus, il n’aurait pas ce sourire-là si elle était en opération… !

Camion qui amenait les équipements de la nouvelle mine. Denis l’a pris en photo car il le trouvait beau à l’époque.

Denis et un collègue devant les équipements à installer de la nouvelle mine. On peut noter les roues gigantesques servant au treuil de la mine.

Début de l’excavation du nouveau puits («shaft») de la nouvelle mine. Ça commençait à être creux.

Hôtel Joutel. En plus du volet hôtel, c’était aussi un bar et lieu de rencontre pour prendre une bière. Pour la petite histoire, il faut noter qu’on y présentait aussi des spectacles genre «topless» certains soirs.

Hôtel Joutel. En plus du volet hôtel, c’était aussi un bar et lieu de rencontre pour prendre une bière. Pour la petite histoire, il faut noter qu’on y présentait aussi des spectacles genre «topless» certains soirs.

Bâtiments abritant la cafétéria des employés de la mine ainsi que les chambres des mineurs qui provenaient de l’extérieur et qui ne demeurent pas à la ville avec leurs familles.

Roulotte pour loger les employés «staff» de la mine non résidants de Joutel. C’est à cet endroit que Denis Laberge se logeait. De sa mémoire, chaque roulotte comprenait quelques chambres et un espace commun. Denis Laberge est ici photographié avec son Buick LeSabre 1973.

Stationnement à l’entrée de la mine.

Équipements qui attendent d’être envoyés sous terre à l’entrée du «shaft». On remarque sur la photo une «Muck machine».

Photo prise d’une mine désaffectée avant sa déconstruction. Denis pense qu’elle s’appelait la mine Poirier.